Comme un air de bien etre...


18 décembre 2008

L'incendie De Nos Vies...

C'est comme une allumette que l'on gratte sur le souffre.
La flamme est née, et commence son parcours ravageur.
Cheminant le long des brindilles, des buissons, puis de
Plus en plus vorace, jusqu'à en embraser le plus grand
des pins de la fôret.
Mon regard posé sur toi, nos coeurs à cent à l'heure
Ce premier baiser destructeur, c'est de là que la folie
S'empare de nos corps perlés de désirs.
Le pin n'existe plus, mais la flamme s'en va à la conquète
d'un autre, plus grand, plus haut, plus beau.
D'étreintes en étreintes, le parcours de vie, le chemin
D'amour nous innonde de son quotidien.
De moins en moins d'arbres à dévorer, la flamme se
Contente maintenant d'un buisson de genêt de ci de là.
Nos moments de souffles accéléres se font plus rares,
Mes mains ne caressent plus ces douces parois humides.
Il n'est plus rien sur ce coteau à dévorer, la flamme
s'en va mourrir contre un dernier brin d'herbe sêchée.
Nos regards s'éloignent, nos mots sont maintenant absents
Passion d'un temps, qui laissera une terre ocre brune
D'ou seuls les souvenirs éclaireront nos yeux...

Ark...

14 décembre 2008

Tout Simplement...

Tenter d'oublier et chercher à se décrocher de ces mots auxquels
On était enlacés. Et on oublie les phrases les lettres on ricoche.
Comme dans un paradis forgé de fausses idées et de contrées lointaines.
On se heurte aux autres, à l'autre, unique pudique et changeons le sens
Des phrases. Le plaisir, l'envie, le désir de renouveler de se retrouver
Puis on s'écorche. Une envie peur panique venue d'un ailleurs pour
Eprouver l'extase. L'avoir pour quelque temps retrouvée.
C'est un sens auquel on échappe, un peu curieux anesthésié.
Alors on recherche un autre poison, on ne voie que la peinture,
Pigmentée de ses autres textures. Et nous perdons dans la lumière
Les formes arrondies d'une colonne, cachée par les courbes lisses
Granulées de ta peau. D'un ange qui entre tes lèvres chaudes a son
Doigt immiscé. Comme un passage à l'intérieur, éphémère.
Tes deux mains, agrippées à ce draps satin dans le silence de caresses
Frissons, simplement dérangé de ton souffle envoutant.
Au fil de l'espace et du temps, on se sent étrange, on se dérange.
Je tisse, esquisse des toiles et comme aspiré, j'entre à l'intérieur.
Perdu et émerveillé à la fois, emprisonné de ses mailles fines et froides
Je vogue sur un ruisseau éphémère. Longue leçon d'amour partagée,
A la découverte de contours, et au détour des formes douces et humides
Nous nous sommes endormis...

Ark...

Le Flou De Mes Rêves...

Mais que c'est il passé, le ciel pleure ce matin
De longues larmes fines ruissellent sur ma vitre
Pourquoi ce visage si triste empli de chagrin
Rien ne le fait sourire, même quand je fais le pitre
Il repars de plus belle en cascades de franges froides
S'apaise et recommence, comme pour me dire
Qu'il a mal de ne plus reconnaître ce monde en croisade.
Un monde qu'il voudrait protéger pour qu'il ne soit pire.
Mais, mon ami le vent est arrivé, il a calmé le ciel perturbé
A déplacé sans faiblir ces amas de nuages gris bleutés.
Un incessant ballai de couleurs tristes naviguent sur ma tête
En un éclat les nuages se sont allongés s'en vont en fête
Par ci par la, furtivement, le roi passe ses rayons orangés
Au travers des trouées bleues, et caresse le sol immergé.
La nature bien vite se réveille, les coquelicots courbés
Se redressent fièrement, les insectes sortent du sol embourbé
Les couleurs, les odeurs renaissent le sourire a repris le dessus
A la toile grise de ce matin, succède des boules de coton charnu
Ces grands nuages blancs aux formes multiples et douces
semblent avoir des ailes d'ange qui battent et qui les poussent
Vers un horizon lointain d'où ils ne reviendront jamais
Mais la journée se termine, je crois que je rêvais...

Ark...

8 décembre 2008

Et Moi Larmes...

Je rêve d'une vie au hasard
Mais mon âme est un grand bazar
Va-t-elle guérir de tout ce mal
Et enfin sortir de ce dédale.
Enchainé contre ce mur, cet exutoire
Et casser les mailles de cette histoire
Renaître, et fatigué de n'avoir rien dit
Le réel est devenu un monde sans vie.
Un piano sur une plage sème des notes,
Les clé de sol s'envolent le long des côtes
Et moi je suis la, allongé sur le sable
A imaginer une vie construite de fables.
Le piano emporté par la vague
Les notes noyées dans le vague
Et moi je sis la, allongé sur le sable humide
A rêver à un avenir qui deviendrait torride.
Une mouette intriguée me guette de là haut
Et moi je suis la, et lui crie, Dieu que c'est beau.
Dans un chant emprunté aux notes noyées
Elle s'élève encore plus haut, partie, envolée...

Ark...


2 décembre 2008

Révolte D'Un Sourire...

J'ai tant marché, je suis allé au bout du vent
Je sais qu'il existe un ailleurs, hors du temps
Guidé sans le savoir sur ce chemin inconnu
Toute ma force il a fallu pour en être revenu
Etoiles, planètes qui font tellement rêver les hommes
Moi je vous ai démasqué je vous abandonne
Vous êtes marchand de rêves, la haut sur ce chemin
Osez me dire qu'une seule fois vous m'avez tendu la main.
Je haie votre histoire échafaudée de mensonges
Tant de fois à genoux, le regard levé empli de songes.
Etoiles vous n'êtes que pluies d'indifférence
De la haut, vous ne savez qu'admirer nos souffrances
Toi lune majestueuse, secrète, que dire
Tu es fausse, tu te cache, tu es ce qu'il y a de pire.
Je n'attends plus rien de vous
terminé d'être à vos genoux
Que plus jamais personne ne me chante vos louanges
Car là oui, je serais vous écrire des mots qui dérangent
Je vais apprendre aux hommes à vous craindre pour toujours
A ne plus se réfugier en vous, pour qu'ils réapprennent l'amour,
Je vais déchirer la toile d'araignée que vous avez tissé
Je suis seul contre vous, je n'ai pas peur, j'en ai assez
Je suis Ange pas un gladiateur, j'ai tant de choses à dire
Il est temps de vous apprendre mon monde, celui du Sourire...

Ark...



25 novembre 2008

Désapprendre, Avant de Savoir...


Désapprendre à souffrir,
Savoir allumer la lumière du bonheur
Et peindre des toiles de l'Amour.
Enfin apprendre à vivre, ivre.
Ne pas lire les livres, mais arriver à écrire
Comme ce frisson qui parcours mon torse.
A la recherche du plaisir, Divine osmose
Fermer les yeux et voir ma main sur toi
Vers ce chemin respectueux qui te fais entrouvrir
Les lèvres, et laisser s'échapper un souffle,
Docile, humide, chaud de fièvre amoureuse.
S'abandonner, ne pas, ne plus retenir ses envies
Laisser s'exprimer ses contorsions, se laisser aller.
Donner son corps, l'abandonner, l'offrir à l'autre
Et n'attendre que des frémissements, ou seule
La vue de te voir hurler de plaisir envahie mes sens
Au point de te serrer fort, et ne plus faire qu'un en toi,
En nous...

Ark...


23 novembre 2008

Vivre Ses Souffrances...

Oui j'ai mal, mes larmes me griffent, transpercent ma chair
Au plus profond de moi, la souffrance explose de mes veines.
S'apaiser par la violence, se cogner le tête contre les murs, blancs.
Mes fantômes amis, ennemis, rodent en moi en farandoles hystériques,
Puni d'avoir mal, puni d'avoir une âmes sur qui le monde s'empale.
Chaînes évadez vous de moi, prenez le chemin du départ,
Allez emprisonner les êtres immondes de cette terre vide de sentiments.
Comme à chaque fois, la douleur est plus profonde encore, plus noire.
De cicatrices en cicatrices, continuer à souffrir, et le faire avec mon sourire,
Je n'ai qu'une hâte, c'est que tout ça s'évapore comme une volute de fumée.
Un cauchemar, un feu follet est venu caresser les songes de mes nuits
Comme un voile de couleur bleu gris, qui flotte au vent de mes pensées.
Et quand le mal s'endormira, mon cœur s'arrêtera de battre.

Ark...

24 octobre 2008

Retourne Toi...

De moments présents en souvenirs passés
Je suis là, avec toute ma sensibilité de révolte mélangée
De façon ravageuse, inlassablement la nuit éteint le jour
Comme une toile terminée que je recouvre de noir ébène.
Douloureuse demeure qui enfouis les peines d'un amour perdu,
Ce cœur qui bat sans relâche mais qui lâche des torrents de larmes
Comme autant de lames qui viennent mourir sur des berges désertes.
La vie me blesse et assèche mes sentiments, la vie m'épuise.
Je sais pourtant que ces nuages bleus abritent les rires des enfants,
Que le vent de la lande courbe les blés comme pour les caresser.
Parfois je ferme les yeux sur nos dernières heures partagées
Et c'est la que je comprends à quel point la vie est sinueuse,
J'attends que le calme revienne tout au fond de mon être,
Assis sur cette pierre froide, les pieds nus dans l'herbe humide.
Je veux écrire des lettres à l'envers et commencer par la fin
Peut être que l'avenir n'en serait pas moins pire, et que mes
Mains retrouveraient l'envie de créer des reflets de lumière colorés.
Comprendre ne guéri pas, ça je l'ai compris, parfois je retrouve
Une trace de moi, comme un fantôme qui surgit au grand jour
Et sans cesse inexorablement le nuit revient...

Ark...



20 octobre 2008

Briser Les Chaines...

Le jour se lève enfin comme pour éteindre la nuit
Et demain, après demain il fera le même chemin.
Je vais partir à la conquête des jours, sans bruit
Laisser derrière moi les coucher de soleil chagrin
Eternel recommencement que cette vie qui passe,
Sans même s'en apercevoir nous sommes l'esclave
Du temps passé, du temps futur qui nous dépasse,
La liberté n'est que souvenirs, ici tout nous enclave.
Ne plus savoir exprimer un sentiment quel qu'il soit
Oser crier je t'aime sans ne jamais se cacher
Afficher son cœur, que plus personne ne voie
Dans la foule enlacer son Amour, ne plus s'en détacher.
La nuit s'enfuie sans relâche devant le jour qui la rattrape
Mais hier, comme un mirage, il faisait nuit en plein jour
Je sais maintenant que sans cesse la vie injuste nous frappe
Nous attrape de ses longs bras et nous détourne sans détours.
Savoir ou aller et se guider sans même y voir devant sois
Faire renaitre la lumière par notre désir de vivre une passion
Pour qu'enfin nous puissions gouter le bien, juste une fois
Et pourquoi pas l'apprivoiser pour qu'il en fasse sa maison.
Elle ma dit, sais tu que la nuit n'est que la paupière du jour
Mais sait-elle que dans la nuit règne sans partage, l'Amour.

Ark...

15 octobre 2008

Histoire D' un Rêve...


Génocide des couleurs et des formes envolées
Naufrage des tant et tant d'illusions perdues.
Le vent de la déraison souffle en ouragan violet
Au loin, tout à l'horizon, emprisonnés enfermés
Les reflets se sont cachés pour ne pas être tués.
Mes sommets s'aplatissent afin de taire leur ombre
Des caresses prohibées se taisent, ne se frôlent plus.
Les aiguilles s'arrêtent, le temps avance à reculons
Le chemin sinueux d'un corps allongé n'est plus
Qu'un trait sans âme, comme une lame glaciale.
Rideau de pluie, chevelure brune blonde mélangée
Qui ne lave pas un sol aride aux airs de désert.
Entre dans l'histoire, viens avec moi chasser le noir
Bannir la lune absente de couleurs, j'appelle la lumière
Je rêve d'un feu d'artifice infini multicolore.
J'invente sans relâche des tons nouveaux
Lumière lumière lumière, ne trouves tu pas
Que ce mot est fort et beau et doux et tendre et flash
Je m'ennuie dans la nuit, et envie le jour pour naître...

Ark...

10 octobre 2008

Tout Est Flou...


Un trait sur la toile, calme, comme une note de piano
Tout est figé autour, rien ne bouge, plus de souffle
Trouble, voile de nuage blanc, mélange des sens.
Rétine d'un oeil vert émeraude exténue
Comme un masque plongé dans le néant.
Faire en sorte que tout s'efface, tout se lasse
Comme une courbe d'un corps inerte.
Le mieux que je puisse faire, est que je ne fasse rien
Je gomme les mouvements, lents, tout est beau.
Des ondes emplissent la pièce, je m'échappe.
Maison folle, hiver à la porte, je m'incline
Mes lèvres entre ouvertes comme un baiser
Comme une envie, comme une caresse
Qui blesse, indélébile trace qui ne s'efface
Au fil d'un temps que je ne sais pas toucher.
Tu es la devant sur ce lac, et moi je me noie...

Ark...

2 octobre 2008

Pleurer En Couleur...



Les corps s'écorchent, s'accrochent, s'entrechoquent
Et jusque là le violon selle amoncelle les notes pelle mêle
Un tremblement de douceur parfume la pièce déserte vide,
Avec hésitation l'archet entame sa mélodie multicolore
Les notes pleuvent comme autant d'éclats pourpres aveugles
Paisiblement des éclats diamant éclaboussent ma toile
Mon regard embrouillé de sensations s'accroche aux croches
Les do sont bleus alors que les si sont gris au coté du la noir.
Les fibres souples douces caressent la matière immaculée
A force de passages autant de traces gravées a tout jamais.
Au fil du temps apparait le sens des formes filiformes
L'œil perçoit ce que l'auteur a voulu crier avec force
Les sons sont autant de couleurs pétrifiées a tout jamais.
Une toile est une chanson qui na pas de refrain
Car la toile ne se répète jamais jamais...

Ark...

1 octobre 2008

Octobre...


A force de vivre dans ce monde je me suis fait prisonnier
Depuis un certain jour d'Octobre le vent s'est déguisé en moi.
Prisonnier des émotions que je m'étais refusé d'avoir
Crucifié aux griffes des humains qui ne savent pas voir,
Qui n'écoutent qu'eux même, qui jugent à tort et a travers.
Je n'ai pas envie de voir ce monde dépérir et agoniser
Qui marche au bord d'un précipice, jusqu'au jour ou il trébuchera.
Je ne participerai pas à cette chute mortelle.
Je me sent prêt à disparaître de ce monde cruel.
Non je ne suis pas lâche, pas autant que vous,
Car vous êtes les acteurs de ce brouillard froid glacial
Qui paralyse vos cœurs et vos émotions.
Je retourne dans mon corps oiseaux, et vais survoler
Des contrées lointaines, ou seul le vent frappe aux portes.
Je garderai à jamais, en moi, l'envie de me reposer sur ce lac...
Un certain jour d'octobre...

Ark...


25 septembre 2008

Qu'Il Est Doux De Rêver...

Dans la brume du temps qui passe, homme perdu dans ce monde de rapaces,
Trop de sensibilité face à la haine de cet univers qui sombre dans la peine.
Me protéger contre qui, contre quoi, quand tout est faux, quand tout est fade.
Se renfermer sur soi pour ne pas risquer la bascule qui vous entraîne par le fond
Et qui ne vous relâche qu'une fois sa tache accomplie. Ne pas croire en la fatalité
De ce qui arrive ou pas, ne pas se résoudre à accepter les coups de griffes
D'un quotidien qui vous lacère au fil du temps. Suivre son chemin de vie
Sans détourner le regard de l'horizon et n'apercevoir au loin que des rayons
Lumineux d'un soleil qui vous brûle le visage. Se donner un but et être prêt
A tout pour y arriver. Mais toujours avec ce sentiment de tendresse qui a fuit
Les sujets de cette terre. Je ne juge personne, je n'en ai pas le droit, mais
Peut être est ce moi qui suis complètement déphasé. Moi qui donne toujours
Une immense valeur aux sentiments, aux caresses, au coeur de chacun d'entre
Nous et aux images successives de la vie de tous les jours dont nous ne voyons
Même plus la beauté. Je ne suis pas seul au monde à être comme ça, vous qui lisez
Ces modestes lignes, si je pouvais une seule seconde vous faire réfléchir
Et qu'à la fin de ce texte, vous puissiez dire, peut être a-t-il raison. Peut être
Que nous ne regardons pas assez autour de nous, et que nous ne raisonnons plus
Que sur nous même. N'attendez pas que votre ami, votre voisin agisse à votre place
Ayez le courage d'affronter la vérité en face et de retourner cet avenir compromis.
Surtout, ne me confondez pas à un de ces fou prédicateur ou autre personne
De ce genre, je suis juste un homme qui...
Dans la brume du temps qui passe, aspire à voir revenir le soleil.

Ark...

23 septembre 2008

Hurler En Silence

Mes pensées s'envolent et se cognent contre des murs noirs
Comme emprisonnées elles ne reflètent que amertumes et désespoir.
Les deux mains écrasées sur mes tempes comme pour arrêter le carnage
Je ferme les yeux pour ne plus voir, pour ne plus savoir, pour fuir vers un autre rivage.
Mais pourquoi moi, pourquoi avoir atterri dans cet univers glauque et morose
Trouble des songes images hésitantes dans un silence qui s'instaure en proses.
Les cris des oiseaux noirs sortent de l'horizon et réveillent de sinistres pensées
Des rires stridents me repoussent à chaque fois que je cherche à guérir mes plaies.
Il est un de ces soirs que l'on tente d'effacer comme une récurrente insomnie
Une palpable sensation qui s'écoule dans vos veines au point d'en être vomie.
Je me demande ou me mènera ce temps entre ces gouttes au gout de sang
Que sera ce futur ou l'on s'endors ou l'on ne rêve pas, dans un ciel gris absent...

Ark...

Comprendre...

De cris muets en rires camouflés, dans le mauvais temps qui s'écoule
La face des jours s'efface comme un château de cartes qui s'écroule
J'ai beau lever les yeux, scruter le ciel aux reflets ternes et hideux
Il ne me reste que des images floues, loin du temps ou j'étais deux.
Le relief de cette toile n'a plus aucuns sens, contradiction des tons
Face aux sentiments que je n'arrive pas à exprimer, je n'ai plus de saison.
Ferme les yeux, et voie ce que je voudrais représenter la, avec mes mains,
Une étendue ondulée de douceur parsemée de senteurs ocres du matin
Ou seuls un homme et une femme résident en amants insouciants
A l'abri du temps sous un ciel en mouvements qui gronde noir, mais souriant.
Comme une vie qui s'écoule, allongé dans un lit de musique douce chaude
Pour un seul but, du début à la fin, divaguer sur le chemin du plaisir émeraude...

Ark...

...

De ce Monde et D'ailleurs...