Comme un air de bien etre...


23 septembre 2008

Comprendre...

De cris muets en rires camouflés, dans le mauvais temps qui s'écoule
La face des jours s'efface comme un château de cartes qui s'écroule
J'ai beau lever les yeux, scruter le ciel aux reflets ternes et hideux
Il ne me reste que des images floues, loin du temps ou j'étais deux.
Le relief de cette toile n'a plus aucuns sens, contradiction des tons
Face aux sentiments que je n'arrive pas à exprimer, je n'ai plus de saison.
Ferme les yeux, et voie ce que je voudrais représenter la, avec mes mains,
Une étendue ondulée de douceur parsemée de senteurs ocres du matin
Ou seuls un homme et une femme résident en amants insouciants
A l'abri du temps sous un ciel en mouvements qui gronde noir, mais souriant.
Comme une vie qui s'écoule, allongé dans un lit de musique douce chaude
Pour un seul but, du début à la fin, divaguer sur le chemin du plaisir émeraude...

Ark...

1 commentaire:

Ca†≈ a dit…

Si seulement...

...

De ce Monde et D'ailleurs...