Finalement, je ne suis ni le vent ni le temps,
Je suis tout simplement un homme,
Peut être pas comme les autres.
Mes yeux perçoivent la beauté
Ou d'autres ne voient strictement rien.
Mes mains ressentent la chaleur
Par la simple pensée d'un être cher.
Mes gestes n'ont de brusques
Que l'élan qu'ils ont pour souffler une caresse.
Mes pas ne sont rapides que pour aider
Cette vieille dame à descendre l'escalier.
Mes forces ne sont utiles que pour protéger
L'enfant seul dans ce monde pressé.
Mes mots n'ont de sens que si ils sont perçus
Comme des frissons de bien être.
Un homme pas comme les autres,
Qui avoue avoir un coeur,
Qui sait laisser les larmes
Couler le long de son visage.
Un homme qui aime, et qui ferme les yeux
Pour apercevoir dans l'ombre les reflets
De l'âme de ses rêves.
Le temps fait que le vent m'apaise,
Je suis son compagnon,
Mais ne reste qu'un homme...
Ark...
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6 commentaires:
Êtes vous bien sûr d'exister ? Votre âme est si belle !
> Bé...En fait le probleme est la, je ne sais meme pas si j'existe...
Ma douce Bérénice m'a devancé. On vous rencontre dans les livres mais rarement au détour d'un regard ! Sauf celle dont vous êtes le compagnon !
Bien sûr qu'il existe. On ne peut l'apercevoir, le voir. On ne peut le ressentir qu'à la croisée d'un même monde, au croisement de nuages. Il est.....
> Cyclo...cela me fait plaisir, un passage ici, j'espere que tout va bien pour toi, et que la nature te donne toujours autant de plaisirs.
Quelle chance alors Cyclonette !! :-)
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