Comme un air de bien etre...


2 février 2007

Moi...


Dans la brume du temps qui passe,
homme perdu dans ce monde de rapace.
Trop de sensibilité face à la haine de cet
univers qui sombre dans la peine.
Me protéger contre qui contre quoi, quand
tout est faux quand tout est fade.
Se renfermer sur sois pour ne pas risquer
la bascule qui vous entraîne vers le fond
et qui ne vous relâche qu'une fois sa tache
accomplie.
Ne pas croire en la fatalité, de ce qui arrive
ou pas, ne pas se résoudre à accepter les
coups de griffes d'un quotidien qui vous
lacère au fil du temps.
Suivre son chemin de vie sans détourner
le regard de l'horizon et n'apperçevoir au
loin que des rayons lumineux d'un soleil
qui vous brûle le visage.
Se donner un but et être prêt à tout pour
y arriver, mais toujours avec ce sentiment
de tendresse qui a fuit les sujets de cette
terre.
Je ne juge personne, je n'en ai pas le droit
mais peut être est ce moi qui suis
complètement déphasé.
Moi qui donne toujours une immence valeur
aux sentiments, aux caresses, au coeur de
chacun d'entre nous et aux images
successives de la vie de tous les jours dont
nous ne voyons plus le beauté.
Je ne suis pas seul au monde à être comme
ça, et vous qui lisez ces modestes lignes,
si je pouvais une seule seconde vous faire
réfléchir et qu'à la fin de ce texte, vous
puissiez dire, peut être as t il raison.
Peut être nous ne regardons pas assez
autour de nous, et nous ne raisonnons
plus que sur nous même.
N'attendez pas que votre amis que votre
voisin agisse à votre place.
Ne me confondez pas à un prédicateur
ou autre fou de ce genre, je suis juste un
homme, qui dans la brume du temps qui
passe, aspire à voir revenir le Soleil.

Ark...



1 commentaire:

Ca†≈ a dit…

Pourquoi se donner un but ?
Pourquoi pas avoir le but de ne pas en avoir ?
Suivre un itinéraire aléatoire (comme tu le fais sur le net !) et vivre avec bonheur les autres. Sans rien en attendre d'autre que le présent.
Détourner son regard de l'horizon, oui, au contraire ! Pour ne rein rater de ce que l'on croise, de ceux que l'on croise.
Car le soleil, le bonheur est sur le chemin ... Pas au bout du chemin.
Tu ne juges personne mais tu condamnes avant de savoir, comme pour te protéger du pire.
En te protégeant du pire des autres, n'espères-tu pas nier le pire de toi ?
Il y a du pire et du meilleur en tout être. Yin/Yang !
C'est cette dualité qui fait notre structure.
Il n'est pas suffisant de regarder autour de soi, il faut savoir ce que l'on veut voire autour de soi.
En regardant avec tout son "SOI" et en ayant toute l'indulgence des erreurs de l'autre (comme des nôtres) le soleil brille alors de l'échange pure, sans attente, juste pour l'instant magique et éphémère d'une émotion furtive.
C'est parce que l'on sait qu'un bonheur ne va pas durer qu'il est si beau !
Vouloir le rendre éternel lui enlève tout son charme.

Tu mets du noir partout persuadé qu'il est tien et indissociable ...
Mais moi, ce n'est pas du noir que je vois dans tes mots et tes photos, c'est un grand arc-en-ciel que tu retiens.
Dans le verre à moitié vide, vois l'ivresse incomparable que va t'apporter le verre à moitié plein!

Et signe les belles pensées que tu mets chez moi. Sans pseudo inutilement protecteur.
Ta signature est belle et te donne l'arrogance d'être toi.
Prends, donnes, n'attends rien ...
Et tout viendra.

KtyZen

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